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Personnages Clefs de ce traquenard judiciaire :
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Avis aux investisseurs en Nouvelle-Calédonie : l'exemple de Raoul MONTHOUEL face à une justice et une presse dignes de l'époque coloniale avec ses "petits arrangements"... (mise à jour
Lorsque des innocents doivent se défendre devant des accusateurs de métier, intronisés dans leurs fonctions par tout l'apparat volontairement impressionnant et protocolaire de l'appareil judiciaire, ils sont particulièrement démunis, voire en proie de panique et de perte totale de moyens, de leurs facultés. Malheureusement, la justice est le jouet d'hommes et de femmes de nos temps, le fruit des tares et du côté obscure de nos sociétés. Ceux qui la servent sont-ils complices ou victimes ? une chose est certaine, ils en sont le corps et l'esprit.
"La justice est la sanction des injustices établies" Anatole FRANCE (1844-1924, Académie Française, Prix Nobel 1921).
Consule Honoraire du Japon
22, allée des Jardins de Sainte-Marie
BP 2009
98846 Nouméa CEDEX
(687) 27 83 03 / 86 11 86 Fax (687) 27 83 03
michel.mjm@lagoon.nc
Madame Marie-José MICHEL est naturellement amenée, de part ses fonctions, à assister des ressortissants Japonais en Nouvelle-Calédonie ; ce qui est pour le moins surprenant, vu qu'elle ne parle pas un mot de Japonais, mais parfaitement estimable de part la nature honorifique de ses fonctions.
Par contre, ce qui l'est moins, c'est le comportement de la consul honoraire du Japon, lorsqu'elle intervient dans les méandres judiciaires, pour soi-disant et selon ses propos "protéger" les ressortissants Japonais, qui, jusqu'à cette date, sont d'ailleurs plutôt des ressortissantes Japonaises. Solidarité féminine ? Peut-être...
D'ailleurs, dans cette tâche, "Marie-Jo" est assistée avec zèle par une interprète, ressortissante Japonaise résidente en Nouvelle-Calédonie, du nom de Atsuko DELRIEU (qu'il est instructif de connaître aussi, leur relation étant éloquente) et, dans une mesure totalement inconnue, peut-être est-elle aussi aidée par le réseau de copinage et d'influence de son discret époux, Monsieur MICHEL, auquel certains prêteraient les fonctions d'ancien fonctionnaire de police bien placé... Mais n'entrons pas dans les rumeurs, restons sur du concret !
Jusque là ma fois, rien que de plus banal.
Mais, que faut-il penser lorsque Madame Marie-José MICHEL devient la besogneuse cheville ouvrière qui permet à des ressortissantes Japonaises d'échapper impunément à la justice, d'être au-dessus des lois ? Bref, de ne pas être justiciables en Nouvelle-Calédonie !
Pire, lorsque grâce à "Marie-Jo" et à ses "bonnes relations" au parquet de Nouméa, ce sont d'autres personnes qui sont condamnées en lieu et place de celles qui devraient "tomber sous le couperet de la justice".
Évidemment, ça tombe bien si ces personnes ont le tort de pouvoir être mises à l'index du fait de rumeurs malveillantes et de jalousies commerciales liées au copinage, et si, ce faisant, la consule s'acoquine à ce copinage, drapé de la magistrate robe qui confère surestimation de soi-même, arrogance et condescendance, armé des prérogatives du lourd glaive de la justice, alors... Gare à la tête du pauvre bougre qui va en faire les frais !
Réseau ? Et bien oui, quand le représentant du parquet et ami de "Marie Jo", Monsieur Richard DUTOT pour ne pas le citer, est en couple avec une japonaise et qu'il intervient directement dans des affaires contre des concurrents de l'employeur de sa compagne (Mr Masataka HORI gérant de South Pacific Tours & Nautac Alizé), clamant qu'il en fait "une affaire personnelle", si ce n'est pas un réseau alors çà y ressemble. Et tout ce petit monde se serre les coudes, les avocats ne sont pas en reste ! N'est-ce pas Me Frédéric DE GRESLAN ?... Chacun ayant le soucis particulier de se faire valoir, au sein de cette petite communauté japonaise qui a incidieusement "infiltré" l'appareil judiciaire, ne pouvant dès lors se poser que comme tendre victime.
Aussi, Madame le consul sait-elle payer de sa personne pour faire condamner des innocents quand il s'agit d'organiser la "protection" des ressortissantes japonaises.
J'ai ainsi pu constater, à mes dépens, que ce soit pendant la fameuse enquête(s) préliminaire(s) du substitut Richard DUTOT, ou lors de l'audience de mon procès pour homicide involontaire, avec quel aplomb elle pouvait mentir ; n'hésitant pas à relater des faits passés concernant des accidents de santé de mes clients (rupture d'anévrisme pour l'une et malformation cardiaque pour l'autre) et à les signaler comme étant des accidents de plongée dont j'aurais été la cause. Pourtant, il y avait plutôt matière à éloges qu'à mise à mort, si vous passez l'expression.
En effet, lors du premier de ces accidents j'avais efficacement palier (avec mon personnel) aux manquements de Mme Marie-José MICHEL en matière de compréhension du Japonais et prises d'initiatives, urgentes, vitales pour la cliente, qui luttait pour sa vie à l'hôpital à une heure du matin (avec cinq ruptures d'anévrisme) et que personne ne voulait transférer sur l'Australie... pour cause de manque de garantie financières ! J'avais d'ailleurs tout aussi efficacement débloqué cette situation, que géré la survenue de cet accident en fin de plongée de nuit, ce pourquoi cette dernière pu se rétablir parfaitement et me remercier chaleureusement plus tard[Note].
Le second accident avait conduit le client à une syncope soudaine en surface lors d'une plongée dans une passe. Assurant la sécurité, j'avais encore promptement réagi avec mon personnel et pratiqué efficacement une difficile ranimation sous oxygène à bord du bateau, assisté plus tard par un urgentiste (arrivé en hélicoptère) et blanc comme un linge du fait du mal de mer, il tremlait tellement qu'il n'arrivait pas à piquer le patient dans le bras. Le cas était très sérieux et la personne s'en était bien sorti (j'avais été étonné que le parquet fasse demander à la victime, par la gendarmerie, s'il ne voulait pas porter plainte contre mon établissement... Aujourd'hui, mieux au courant des copinages existants, je comprends cette question parfaitement incongrue sur le moment).
Mais avec quel étonnement et colère il m'avait fallu entendre publiquement au tribunal, l'aplomb de "Marie-Jo", jusqu'alors si mielleuse et affable à mon égard - qui me faisait la bise pour me dire bonjour - se répandre en mauvais commentaires à mon sujet, travestissant la réalité en mensonges éhontés et surtout tellement accablants et dommageables pour moi. J'étais outré et vouloir faire entendre une autre version m'attirait les sarcasmes ou regards déplaisants du parquet et des juges.
Je comprenais soudainement pourquoi Madame le consul ne répondait plus à mon bonjour avant l'audience et, également, pourquoi j'avais vu Marie-José MICHEL, avec "l'interprète" Atsuko DELRIEU, enlacer par les épaules la veuve de la victime, pour la "protéger" et l'éloigner de moi avec des regards offusqués, lorsque je m'étais approché pour la saluer...
Pressions ? Copinage ? Parti-pris ? Changements inexplicables d'attitude ?...
A propos de Madame Marie-Josée MICHEL et de ses "excellentes" relations avec le Parquet de Nouméa, ce site n'est pas le seul, des victimes quand même arrivent à s'exprimer grâce au Web ; mais qu'importe le nombre, une seule n'est-elle pas de trop ? http://caledoneries.com/apercus-de-linstruction/pressions/
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[Note] Situation au cours de laquelle le médecin urgentiste, ami et client Christophe BOULNOIS, avait été d'un secours crucial en diagnostiquant immédiatement l'origine du problème. Heureusement, notre navire était spacieux et disposait d'une quantité importante d'oxygène à son bord, son accès direct à notre quai avait ensuite permis un transfert immédiat dans une ambulance. Ainsi donc, la prise en charge avait été immédiate et constante. La cliente (33 ans) se rétablit parfaitement et sans séquelles. Elle reprit contact pour nous remercier.
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